Brigitte Bonne, naturopathe

Ce qui élimine toute souffrance, c’est vérité et non mensonge. (Parole de Bouddha)

Brigitte Bonne

Ma vie a été jalonnée par de belles rencontres. De "belles" personnes m’ont transmis de "belles" leçons de vie... Cette beauté colore aujourd’hui mon quotidien... Pourquoi garder tout cela pour moi ?

Je vous invite à le partager...

Il y a d’une part le vécu et les expériences qui ont quelquefois à offrir des solutions et il y a d’autre part les écritures, les techniques, que l’on apprend lors de formations, de conférences, de séminaires, finalisés et chapeautés de diplômes.

Un long travail sur moi qui aura duré huit années , aidée et accompagnée en cela par une "lumineuse" personne psychothérapeute m’a emmenée vers une formation de naturopathe-réflexologue.

Cette formation, je l’ai suivie à l’IFSH : Institut français des Sciences Humaines. Mr Ponzo dirige tout cela avec beaucoup de patience et de bonne humeur. Réflexologie plantaire, iridologie, phytothérapie,aromathérapie, anatomie, physio-pathologie, nutrition-diététique , hydrothérapie et nutrithérapie, morphotypologie, tout cela en fait une formation bien structurée.

Je suis une passionnée de cuisine, diététique et nutrition... de plantes ...et de différents yogas !

Les outils du naturopathe sont nombreux et se choisissent non seulement en fonction du "terrain" de chacun mais aussi de diverses pathologies, sans oublier les prédispositions et affinités que chaque naturopathe aura développées avec le temps et la pratique.

Mais rappelons avant tout que le praticien de santé naturopathe n’est pas formé au diagnostic, ce n’est ni son droit, ni son objectif.

Le naturopathe réalise le bilan de vitalité (le bilan de santé étant utilisé en médecine allopathique sur le mode du "check-up".

Tous troubles dont pourrait souffrir un patient amènera le naturopathe à s’assurer qu’un diagnostic a été posé par son médecin traitant. Il respectera tous traitements en cours.

Il oeuvrera prioritairement dans le champs de l’hygiène et de la qualité de vie.

Ne vous laissez pas impressionner par le poids des traditions, même honorées en de nombreux lieux et par plusieurs générations.

Ne croyez pas quelque chose parce que beaucoup de gens en parlent.

Ne vous en remettez pas aux sages d’autrefois.

N’accordez pas foi à votre imagination en croyant qu’un Dieu vous a inspiré.

Ne croyez rien qui dépende uniquement de votre maître ou prêtre.

Ne croyez, après examen, que ce que vous avez vous-même mis à l’épreuve et trouvé juste et bon.

(Paroles de Bouddha).

Il accompagnera enfin les forces d’autoguérison de la personne par des moyens naturels et non iatrogènes.

Cette démarche n’est aucunement une "ordonnance" qui compilerait tel ou tel remède naturel mais plutôt un programme d’hygiène vitale.

Etre vitaliste, c’est parier sur la vie, sur les capacités régénératrices, sur l’autonomie.

Le praticien de santé naturopathe n’est ni médecin, ni guérisseur.Il optimise l’hygiène de vie et accompagne les processus d’autoguérison chaque fois que possible au moyen de sa pédagogie. Je pense que nous nous trouvons quelquefois à la frontière de deux types de médecine :

La première est la médecine scientifique traditionnelle- qui décide qu’elle est à la fin du chemin lorsqu’une fois le diagnostic posé, le ou les remèdes ont été donnés au niveau des molécules malades

Cette logique constitue un raisonnement scientifique irréprochable mais elle ne tient pas compte des données ordinaires de la vie...

Comme par exemple :

  • Que mange la personne ?
  • Comment dort-elle ?
  • Quelles sont les pensées qui l’imprègnent souvent ?
  • Quel est son environnement ?
  • etc...

C’est pourquoi l’on parle de médecine holistique en naturopathie : l’individu dans sa globalité, c’est une notion très importante.